Nos érion vint ou trenta
bregans dens una benda
tôts arbeillas de blanc
a la moda de, vos me sentéd…
A la moda dus marchiands.
Nos érion vint ou trenta
bregans dens una benda
tôts arbeillas de blanc
a la moda de, vos me sentéd…
A la moda dus marchiands.
Organisées par nos amis du parti valdotain ALPE, les premières journées d’été d’APL (Alleanza Popoli Liberi – Alliance des Peuples Libres) se sont déroulées à Runaz les 7, 8 et 9 septembre 2012. Trois journées d’échanges constructifs entre plusieurs mouvements régionaux du nord et du sud de la péninsule italienne. Plusieurs personnalités sont venues … Lire la suite
OUI au CEVA, Trams, Trolleybus ou Bus en voie propre et pistes cyclables dans nos villes !
NON au Lyon-Turin qui assècherait les lignes budgétaires d’investissements dans le domaine des transports pour de nombreuses années !
Nous nous opposons au Lyon-Turin pour les raisons suivantes :
– Il n’y a pas de trafic suffisant pour justifier son utilité. En particulier, le trafic de camions transfrontalier alpin est-ouest ne cesse de baisser
– Les coûts du projet sont complètement sous-évalués : en cumulant coûts réels et frais financiers, le projet s’élève aux environs de 30 milliards d’euros.
– Se lancer dans le Lyon-Turin, c’est se priver pour longtemps de la possibilité d’investir dans des infrastructures de transports urbains qui permettraient de réduire drastiquement les émissions de pollution dans nos agglomérations.
Concernant le trafic de marchandises France-Italie, nous proposons :
– Deux solutions qui règlent le problème en moins de deux ans :
-> La ligne du Mont Cenis, dont le tunnel vient d’être remis aux normes à grands frais et qui n’est utilisée qu’à 25% ; cette ligne absorberait pour longtemps l’essentiel du trafic.
-> La montée en puissance d’une autoroute maritime en méditerranée pour transport du trafic de transit entre l’Espagne et l’Italie.
– Une solution à très court terme :
-> L’interdiction de circulation aux camions qui circulent à vide
Le MRS, avec la coordination contre le Lyon-Turin, demande au Président de la République de prendre du recul par rapport à tous les lobbies qui l’encerclent.
« Depuis des années, on parle en France de régionalisation sans vraiment la faire. Depuis des années, on parle en Savoie de Région Savoie ou de fusion des départements en une collectivité unique avec les compétences d’une région. Or, nous constatons une désintégration de nos territoires savoyards sous les coups de boutoir de Lyon, Grenoble et … Lire la suite
Par Noël Communod
Après que la fusion de l’université de Savoie dans l’université de Grenoble soit tombée à l’eau, JeanJacques Queyranne part à son tour à l’offensive dans un projet d’université RhôneAlpes. En toile de fond : toujours une course vers le gigantisme, appuyée par les absurdes critères de Shanghaï. Suivi du dossier étape par étape…
Premier round : avant l’été
L’Université de Savoie est un symbole important pour les Savoyards. Tout aussi important que la Cour d’appel de Chambéry.
Il est à craindre qu’une fois de plus pour les savoyards, l’acte III de la décentralisation n’accouche que d’une souris. Toutes les réformes territoriales qui se succèdent se heurtent au même problème : les élus chargés de voter les textes sont directement concernés, puisque la grande majorité d’entre eux cumulent les mandats. Chaque niveau du millefeuille défend ses compétences et se constitue en lobby. Il en va ainsi en Savoie où la concurrence entre les différents niveaux du millefeuille se fait au détriment de l’Unité qui nous rendrait plus forts.
Par Noël Communod
Depuis 1972, année de la création des régions en France, nombre de Savoyards se sont élevés contre la création d’une région Rhône Alpes, sans grande signification, sans les atouts de la proximité. Les élus étaient alors très nombreux à plaider pour une région Savoie à part entière, mais le mal était fait. C’est à cette époque que s’est créé la Mouvement Région Savoie (MRS).
Depuis des années, on parle en France de régionalisation sans vraiment la faire. Depuis des années, on parle en Savoie de Région Savoie ou de fusion des départements en une collectivité unique avec les compétences d’une région. Or, nous constatons une désintégration de nos territoires sous les coups de boutoir de Lyon, Grenoble et Genève. C’est maintenant qu’il faut réagir.
Par Bernard Juillet{jcomments on}
L’opposition au traité budgétaire européen instaurant « une règle d’or » d’équilibre budgétaire a fait long feu. L’Assemblée l’a adopté par 477 voix contre 70. Il n’y avait pas photo et l’organisation d’une manifestation pour demander un référendum seulement quelques jours avant le vote montre bien que même les organisateurs n’y croyaient pas. Autant dire que leurs motivations relevaient au mieux de la posture et du symbole, au pire de calculs politiciens.
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Par Pierre Ottin-Pechio
Malgré la crise financière, économique, écologique, ou à cause d’elle, plusieurs états européens, dont la France, sont actuellement secoués par des processus de décentralisation, de dévolution ou de fédéralisation. C’est le cas en France (Alsace, Catalogne, Pays basque) et aussi en Belgique, en Espagne et en Grande-Bretagne. La reconnaissance officielle de nouvelles collectivités régionales en Alsace et en Pays Basque devrait être acquise en 2013. Ce sera une première étape et un modèle pour la régionalisation de la Savoie.
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2500 personnes ont participé à la manifestation, ce samedi 22 septembre, dans les rues d’Aix-les-Bains pour répondre à l’appel national contre les gaz de schistes et hydrocarbures.
Étaient présents les collectifs de Haute-Savoie, Jura, Bresse-Revermont, Bugey (Haut-Bugey et Bugey-Sud), Gex …
Des représentants du MRS, impliqués aussi dans des associations locales, étaient de la partie.
Nous avons plusieurs fois dénoncé dans les lignes de ce site l’absurdité de cette nouvelle quête d’énergie, à n’importe quel prix et au détriment même de la nature et de la vie (voir rubrique Énergies).
Le diable se cache dans les détails des déclarations officielles.
Lors de l’ouverture de la conférence gouvernementale sur l’écologie, le Président de la République s’est récemment opposé à l’usage de la fracturation hydraulique : « En l’état actuel de nos connaissances, personne ne peut affirmer que l’exploitation des gaz et huiles de schiste par fracturation hydraulique, seule technique aujourd’hui connue, est exempte de risques lourds pour la santé et l’environnement ». Il n’en demeure pas moins qu’il laisse une grande ambiguïté en se prononçant pour « le rejet des sept demandes de permis déposés auprès de l’Etat ». Lesquelles ? Car de demandes de permis, il en existe plusieurs dizaines en France !