
Il s’agit ici pour une fois d’une belle entente droite-gauche, au-delà des stratégies politicardes, qui permettra, si les citoyens en décident ainsi, de mettre en place une politique territoriale efficace, adaptée aux spécificités régionales, comme par exemple les relations transfrontalières. Elle permettra de gagner en efficacité dans des domaines où les compétences des collectivités actuelles s’entremêlent, et d’obtenir de l’Etat de nouveaux transferts de responsabilité, dans l’éducation, les transports, la culture, le logement ou le développement économique.
Une région petite par sa taille, grande par son dynamisme !
Notons que grâce à cette fusion, les conseillers généraux et régionaux concèdent eux-mêmes une réduction de 10% à 20% du nombre d’élus.
Un “moment historique” pour cette collectivité “qui n’a jamais été faite ailleurs” et qui “pourra servir demain d’aiguillon” à d’autres régions : c’est ce qu’a proclamé le Président de Région, l’UMP Philippe Richert… car oui, c’est bien de l’Alsace dont il s’agit !
LB
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